L'association est une structure qui a pour vocation d'être utilisée, comme un vêtement qu'on enfile, une association est faîte pour être remplie ! La Terre vue du Sol est là pour donner de l'ambition à vos projets, dans un sens responsable et solidaire. Pour reprendre la comparaison, La Terre vue du Sol serait une paire de chaussures pour tous les marcheurs qui souhaitent aller de l'avant, pour aller un peu plus loin dans l'action, un peu plus profondément dans la réflexion, un peu plus grand dans le rêve...

Si tu es voyageur, que tu veux le devenir, que tu voyages au long court ou à la petite semaine... Si tu veux développer ton art de raconter tes voyages ou raconter tes voyages en utilisant les arts...

            Membre Explorateur : 30 €/an

            - Bénéficie du conseil et du soutien de l'association pour ses projets de voyage

            - Bénéficie du suivi de professionnels pour la mise sur support de son expérience

            - Peut-être édité et/ou exposé dans les réseaux de diffusion de l'association

Si tu es citoyen, que tu veux le devenir, que tu milites au long court ou à la petite semaine... Si tu veux réfléchir à la solidarité, participer à une réflexion solidaire...

             Membre Actif : 5 €/an

            - Participe aux actions de sensibilisation de l'association (expositions, débats, projections,...) dans ses réseaux de diffusion (festivals, événements culturels, milieu scolaire,...)

            - Accès gratuit à la bibliothèque du lézard

... Alors, sous le seul contrôle de ta responsabilité individuelle, tu peux nous rejoindre !

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Il y a bien des chemins sans voyageur. Il y a encore plus de voyageurs qui n'ont pas leur sentier.
Gustave Flaubert

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Route touristique solidaire 0.0 :

Sur le sol des Balkans . Automne 2009 . Jb & Nico

28.10.2009  Mais c est quoi le Kosovo ? 

 

 

23.10.2009  Sarajevo - Belgrade

 

 

15.10.2009  Du traumatisme a la richesse

 

 

09.10.2009 A la rencontre de l Europe Orientale

 

 

03.09.2009 De Korcula au massif d Orjan

 

 

  24.09.2009  Dober dan !

La route touristique solidaire n°O "Sur le sol des Balkans", après son exploration (voir plus bas), sa digestion, va rentrer dans sa phase exposition itinérante... SI vous êtes dans le coin en Juillet passez nous voir !!

Programmation : du 10/07 au 29/07

BOSNIE :
10/07 : Mostar, Centre Culturel Okc Abrasevic.
A défaut d'avoir pu nous programmer à Sarajevo, nous faisons une halte dans ce centre culturel de jeunes dans la ville de Mostar, nouveau gibier des tours opérateurs de la côte adriatiques.

11/07->13/07 : Blagaj, Velagic House
Nous repassons chez Semir et sa maison familiale tricentenaire transformée en éco gîte. Il s'agit à la fois de dynamiser le lieu et d'établir un constat sur son développement un an après notre visite.

SERBIE :
14/07->15:07 : Beograd, Chillton Hostel
Retour à la petite auberge de jeunesse qui nous avait accueillis lors de notre halte à Belgrade. Le temps d'une nuit nous présenterons l'exposition aux touristes de passage dans un des points de rendez vous urbain des voyageurs sac à dos.

BULGARIE :
16/07 : Meeting développement durable, Université de Sofia, auditorium 65
C'est notre partenaire Trinoga qui nous invite à participer à cette rencontre autour du développement durable et des alternatives existantes. Nous aurons l'honneur d'y animer une table ronde sur le voyage responsable.

17/07->25/07 : 4ème rencontres internationales d'été du village de Zelen
Toujours avec nos amis de Trinoga, nous ferons une longue halte dans ce lieu qui fût pour nous à plusieurs titres le point d'arrivée de l'exploration. Durant toute une semaine nous participerons aux rencontres internationales des milles alternatives dans ce magnifique site du massif des Balkans...

ALBANIE :
27/07->29/07 : Suivi du projet FLorAlba, Pogradec
Dans le cadre de l'action de suivi de projet de l'association nous profitons de notre retour dans les Balkans pour passer voir l'Albanie, encore inconnue de nos semelles, et en profiter pour animer une première rencontre entre un mini tour opérateur en construction solidaire et une communauté de pêcheurs, au bord du lac d'Ohrid.

Rendez vous le 4-5 Septembre pour ceux qui ne seront pas dans les Balkans en juillet : nous serons au festival Kumpania à ARgein (09) !!

À l'ère de la mondialisation inévitable, nous assistons à un intérêt croissant du public vers ces communautés traditionnelles disparaissantes  qui, malgré leur retard économique et technologique, ont encore préservé leur culture unique et leur mode de vie en harmonie avec l'environnement, sur la base du lien initial entre l'homme et la nature.
Alors que les études antérieures anthropologique et ethnographique de tribus ont été réalisées principalement à des fins scientifiques, aujourd'hui, une grande partie d'entre eux sont également consacrés à la recherche de solutions pratiques des problèmes qui concernent l'homme moderne et l'écosystème fragile dont il dépend. L'existence de nombreuses organisations gouvernementales et non gouvernementales pour la conservation des tribus et la vulgarisation de leur culture et de leur savoir faire viennent étayer cette affirmation.
Ce projet vise à étudier et à documenter la culture de la communauté ethnique Drokpa. Les Drokpas habitent plusieurs villages situés à 3000 m. d'altitude dans la vallée du fleuve Indus, au Nord-Ouest du Ladakh - l'une des régions les plus isolées et inaccessibles de l'Himalaya Dard. Les Drokpas sont une communauté indo-aryenne. Ils appartiennent au groupe Dard tribus et sont soupçonnés de faire partie des premiers colons au Ladakh. Contrairement à la plupart des tribus Dard, qui se sont converties à l'islam au 14ème siècle, ils ont conservé leur croyances animistes traditionnelles Drokpas, fondée sur l'adoration de leurs ancêtres et de la nature - les montagnes, les fleurs, l'eau et l'Esprit de la terre. Lors de la conversion au bouddhisme dans le 17ème siècle, le roi du Ladakh a publié un décret, qui interdit aux Drokpas d'utiliser leur langue et leurs pratiques religieuses traditionnelles. En retour, il leur a accordé un statut égal dans la société Ladakhi. Ce décret a contribué fortement à la progression de l'influence du bouddhisme tibétain et la culture de Drokpa et peu à peu transformée en un tabou. Néanmoins en raison de la tradition orale endogamique et durable, la communauté a réussi à préserver sa langue ethnique et ses caractéristiques culturelles, ses pratiques et croyances religieuses.
Aujourd'hui, la culture unique de Drokpa est plus vivace dans les villages de DHA, et Garkhon Beema. Seuls les deux premiers encore célébrent la fête Bonina - leur plus importante fête au cours de laquelle les Drokpas peuvent librement revenir à leurs anciennes traditions Dard. Elle se déroule en Octobre une fois tous les trois ans, dure cinq jours et comprend de nombreux rituels et les coutumes de l'époque de leurs ancêtres. Une partie de elle comprend des chants épiques Dard, dont la performance est absolument interdite en dehors du festival. Avec l'ouverture du Ladakh pour les touristes en 1974, la construction d'infrastructures de transport et d'autres facteurs contribuent à révéler cette culture traditionnellement fermés au monde. L'idée du projet actuel est arrivé en août 2009, lorsque l'équipe a visité les villages de DHA et Garkhon, recueilli des données ethnographiques et établi des relations étroites avec plusieurs familles de la communauté. Les Drokpas sont un groupes ethniques peu étudié au Ladakh, ce qui explique pourquoi la documentation de leurs traditions en voie de disparition unique permettra de soutenir les efforts pour préserver le patrimoine culturel mondial. La présentation et la publication des données recueillies ethnographique comme un objectif du projet répondra à l'intérêt du public et des experts et amènera des avancées dans le domaine de l'ethnographie, l'anthropologie, la sociologie, les études culturelles, etc
De format bilingue Le projet permettra d'offrir sa plus large accessibilité et application.

PLus d'infos sur ce projet soutenu et suivi par l'association :
(en anglais)

À l'ère de la mondialisation inévitable, nous assistons à un intérêt croissant du public vers ces communautés traditionnelles disparaissantes  qui, malgré leur retard économique et technologique, ont encore préservé leur culture unique et leur mode de vie en harmonie avec l'environnement, sur la base du lien initial entre l'homme et la nature.
Alors que les études antérieures anthropologique et ethnographique de tribus ont été réalisées principalement à des fins scientifiques, aujourd'hui, une grande partie d'entre eux sont également consacrés à la recherche de solutions pratiques des problèmes qui concernent l'homme moderne et l'écosystème fragile dont il dépend. L'existence de nombreuses organisations gouvernementales et non gouvernementales pour la conservation des tribus et la vulgarisation de leur culture et de leur savoir faire viennent étayer cette affirmation.
Ce projet vise à étudier et à documenter la culture de la communauté ethnique Drokpa. Les Drokpas habitent plusieurs villages situés à 3000 m. d'altitude dans la vallée du fleuve Indus, au Nord-Ouest du Ladakh - l'une des régions les plus isolées et inaccessibles de l'Himalaya Dard. Les Drokpas sont une communauté indo-aryenne. Ils appartiennent au groupe Dard tribus et sont soupçonnés de faire partie des premiers colons au Ladakh. Contrairement à la plupart des tribus Dard, qui se sont converties à l'islam au 14ème siècle, ils ont conservé leur croyances animistes traditionnelles Drokpas, fondée sur l'adoration de leurs ancêtres et de la nature - les montagnes, les fleurs, l'eau et l'Esprit de la terre. Lors de la conversion au bouddhisme dans le 17ème siècle, le roi du Ladakh a publié un décret, qui interdit aux Drokpas d'utiliser leur langue et leurs pratiques religieuses traditionnelles. En retour, il leur a accordé un statut égal dans la société Ladakhi. Ce décret a contribué fortement à la progression de l'influence du bouddhisme tibétain et la culture de Drokpa et peu à peu transformée en un tabou. Néanmoins en raison de la tradition orale endogamique et durable, la communauté a réussi à préserver sa langue ethnique et ses caractéristiques culturelles, ses pratiques et croyances religieuses.
Aujourd'hui, la culture unique de Drokpa est plus vivace dans les villages de DHA, et Garkhon Beema. Seuls les deux premiers encore célébrent la fête Bonina - leur plus importante fête au cours de laquelle les Drokpas peuvent librement revenir à leurs anciennes traditions Dard. Elle se déroule en Octobre une fois tous les trois ans, dure cinq jours et comprend de nombreux rituels et les coutumes de l'époque de leurs ancêtres. Une partie de elle comprend des chants épiques Dard, dont la performance est absolument interdite en dehors du festival. Avec l'ouverture du Ladakh pour les touristes en 1974, la construction d'infrastructures de transport et d'autres facteurs contribuent à révéler cette culture traditionnellement fermés au monde. L'idée du projet actuel est arrivé en août 2009, lorsque l'équipe a visité les villages de DHA et Garkhon, recueilli des données ethnographiques et établi des relations étroites avec plusieurs familles de la communauté. Les Drokpas sont un groupes ethniques peu étudié au Ladakh, ce qui explique pourquoi la documentation de leurs traditions en voie de disparition unique permettra de soutenir les efforts pour préserver le patrimoine culturel mondial. La présentation et la publication des données recueillies ethnographique comme un objectif du projet répondra à l'intérêt du public et des experts et amènera des avancées dans le domaine de l'ethnographie, l'anthropologie, la sociologie, les études culturelles, etc
De format bilingue Le projet permettra d'offrir sa plus large accessibilité et application.

PLus d'infos sur ce projet soutenu et suivi par l'association :
(en anglais)

À l'ère de la mondialisation inévitable, nous assistons à un intérêt croissant du public vers ces communautés traditionnelles disparaissantes  qui, malgré leur retard économique et technologique, ont encore préservé leur culture unique et leur mode de vie en harmonie avec l'environnement, sur la base du lien initial entre l'homme et la nature.
Alors que les études antérieures anthropologique et ethnographique de tribus ont été réalisées principalement à des fins scientifiques, aujourd'hui, une grande partie d'entre eux sont également consacrés à la recherche de solutions pratiques des problèmes qui concernent l'homme moderne et l'écosystème fragile dont il dépend. L'existence de nombreuses organisations gouvernementales et non gouvernementales pour la conservation des tribus et la vulgarisation de leur culture et de leur savoir faire viennent étayer cette affirmation.
Ce projet vise à étudier et à documenter la culture de la communauté ethnique Drokpa. Les Drokpas habitent plusieurs villages situés à 3000 m. d'altitude dans la vallée du fleuve Indus, au Nord-Ouest du Ladakh - l'une des régions les plus isolées et inaccessibles de l'Himalaya Dard. Les Drokpas sont une communauté indo-aryenne. Ils appartiennent au groupe Dard tribus et sont soupçonnés de faire partie des premiers colons au Ladakh. Contrairement à la plupart des tribus Dard, qui se sont converties à l'islam au 14ème siècle, ils ont conservé leur croyances animistes traditionnelles Drokpas, fondée sur l'adoration de leurs ancêtres et de la nature - les montagnes, les fleurs, l'eau et l'Esprit de la terre. Lors de la conversion au bouddhisme dans le 17ème siècle, le roi du Ladakh a publié un décret, qui interdit aux Drokpas d'utiliser leur langue et leurs pratiques religieuses traditionnelles. En retour, il leur a accordé un statut égal dans la société Ladakhi. Ce décret a contribué fortement à la progression de l'influence du bouddhisme tibétain et la culture de Drokpa et peu à peu transformée en un tabou. Néanmoins en raison de la tradition orale endogamique et durable, la communauté a réussi à préserver sa langue ethnique et ses caractéristiques culturelles, ses pratiques et croyances religieuses.
Aujourd'hui, la culture unique de Drokpa est plus vivace dans les villages de DHA, et Garkhon Beema. Seuls les deux premiers encore célébrent la fête Bonina - leur plus importante fête au cours de laquelle les Drokpas peuvent librement revenir à leurs anciennes traditions Dard. Elle se déroule en Octobre une fois tous les trois ans, dure cinq jours et comprend de nombreux rituels et les coutumes de l'époque de leurs ancêtres. Une partie de elle comprend des chants épiques Dard, dont la performance est absolument interdite en dehors du festival. Avec l'ouverture du Ladakh pour les touristes en 1974, la construction d'infrastructures de transport et d'autres facteurs contribuent à révéler cette culture traditionnellement fermés au monde. L'idée du projet actuel est arrivé en août 2009, lorsque l'équipe a visité les villages de DHA et Garkhon, recueilli des données ethnographiques et établi des relations étroites avec plusieurs familles de la communauté. Les Drokpas sont un groupes ethniques peu étudié au Ladakh, ce qui explique pourquoi la documentation de leurs traditions en voie de disparition unique permettra de soutenir les efforts pour préserver le patrimoine culturel mondial. La présentation et la publication des données recueillies ethnographique comme un objectif du projet répondra à l'intérêt du public et des experts et amènera des avancées dans le domaine de l'ethnographie, l'anthropologie, la sociologie, les études culturelles, etc
De format bilingue Le projet permettra d'offrir sa plus large accessibilité et application.

PLus d'infos sur ce projet soutenu et suivi par l'association :
(en anglais)

Le guide Lonely Planet du voyage expérimental

Lamic Jean-Pierre, Tourisme durable, utopie ou réalité ? Éditions L’Harmattan, avril 2008.

Le guide du routard Tourisme durable, Hachette

Partir autour du monde, ABM

Ils soutiennent moralement, financièrement ou médiatiquement ce projet :

Voici les associations et organismes qui aident à la préparation ou participent à nos actions :

ASSOCIATION RELAIS : Couleurs Sensations INITIATIVE : Tourisme équitable et solidaire Date de l'exploration : Décembre - Janvier 2010 Lieu : N.D. Couleurs Sensations, est une association de tourisme solidaire et équitable membre de l'ATES. Penser le voyage différemment, impliquer les populations locales dans l’accueil, soutenir et découvrir des projets de développement local concrets et utiles. C'est pourquoi les voyages sont toujours associés à une implication de la population locale dans l’accueil des voyageurs (logement chez l’habitant, soirées thématiques, repas en collectivité) mais surtout à un projet de développement permettant l’amélioration des conditions de vie des locaux. Hébergement chez l’habitant, méharée dans le désert et découverte d’activités traditionnelles, s'immerger dans la culture locale et de passer des moments inoubliables, tout en appuyant le développement local…